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La dégradation de la perception des capacités du président Trump

L’inculpation du Général Flynn y est pour beaucoup dans le climat crisique général qui s’est installé dans un nouvel épisode paroxystique à Washington, mais ce n’est ni la seule cause ni, sans doute, la cause principale ; disons que c’est la cause circonstancielle. Cette affaire survient alors qu’a lieu une extraordinaire dégradation de la perception des capacités du président Trump, de son caractère et de ses facultés intellectuelles.

Il faut bien évaluer ce deuxième point qui est en train de devenir essentiel et central, car la manifeste idiotie-folie de Trump, l’homme de la télé-réalité, n’est en aucun cas le seul problème. Ceux qui manifestent cette perception n’ont pas tort dans leur jugement, mais ils sont en bonne partie la cause de cette situation. Ils sont eux-mêmes dans un état de capacité, de caractère et de faculté intellectuelles au moins aussi déplorable que celle de Trump, même si d’une autre façon où l’apparence semble plus acceptable. Enfin, affreuse cerise et cerise amère sur le gâteau, il n’y a nulle part à “Washington D.C“ (ou ailleurs dans le bloc-BAO -« Bloc Américano-Occidentaliste ») la moindre alternative satisfaisante à cette situation où Trump est à la Maison-Blanche.

Tout cela doit être apprécié dans le cadre hypothétique qu’une action décisive pour se débarrasser de Trump (destitution) entraînerait très probablement, sinon sûrement à notre estime, un enchaînement absolument catastrophique de désordre, de protestation, sinon d’émeutes. Il est alors acceptable de concevoir l’hypothèse que nous passerions possiblement d’un climat de “guerre civile de la communication” à la situation de la Guerre Civile tout court.

Les experts qui aiment les métaphores nomment cela “a perfect storm” ; nous ajouterions, “perfect storm” en temps de dérèglement climatique, qui crée des ouragans absolument monstrueux

Voyons d’abord l’affaire Flynn, ou disons plus justement l’épisode crisique-Flynn de la Grande Crise d’Effondrement du Système, en pleine combustion au cœur du Système, à “D.C.-la-folle”. A côté des supputations sur la culpabilité de Flynn, sur la gravité de sa faute, etc., il y a la considération que l’action contre Flynn est une attaque contre Trump lui-même.

C’est la thèse de WSWS.org, qui n’aime rien tant que les perspectives catastrophiques et qui, dans ces temps de “tourbillon crisique”, se trouve souvent objectivement à “défendre” des gens qu’il dénonce par ailleurs furieusement selon la doctrine trotskiste. On cite ici le début et la conclusion d’un article sur l’inculpation de Flynn, le corps de l’article étant effectivement constitué d’une analyse du cas lui-même, – dont nous avons dit déjà qu’il ne nous intéresse guère puisque nous suivons essentiellement les effets et les conséquences de la chose, extérieurs à la chose… L’article est du 2 décembre 2017, de Bill Van Auken.

« La décision de plaider coupable, vendredi, de Michael Flynn, ancien conseiller à la sécurité nationale du président Donald Trump, marque une escalade majeure dans la crise politique sans précédent aux États-Unis. Les conflits furieux au sein de la classe dirigeante, centrés sur les questions de politique étrangère, entrent dans une nouvelle étape explosive. […]

» La question est de savoir si ‘l’accord de plaidoyer’ de Flynn constitue le début d’un mouvement visant à évincer Trump de la Maison Blanche reste à voir. Il a eu lieu dans le contexte du re-tweeting de Trump d’insultes antimusulmanes fascistes britanniques, des menaces d’anéantir la Corée du Nord nucléaire et des commentaires croissants des médias mettant en doute la santé mentale du président américain. Les factions importantes de la classe dirigeante voient la présidence de Trump comme un désastre pour les intérêts impérialistes américains à l’étranger et pour la stabilité des États-Unis chez eux.

» Sous-jacente à l’escalade de la crise, d’intenses tensions sociales, économiques et géopolitiques sont liées à l’érosion de la domination mondiale et de la stabilité nationale du capitalisme américain. Au sein de la classe dirigeante capitaliste, l’opposition à Trump est largement motivée par l’hostilité à l’affaiblissement de la politique antirusse développée sous Obama.

» Le retrait de Trump de ses fonctions ne fera que créer les conditions d’un gouvernement encore plus fermement sous le contrôle de l’armée et des services secrets américains. »

Van Auken parle donc « des commentaires croissants des médias mettant en doute la santé mentale du président américain », et c’est le deuxième aspect de notre démarche de constitution du dossier qui nous occupe aujourd’hui. Il est vrai qu’une vague de mise en cause directe de la personne-Trump, de sa santé mentale, de son comportement, et même de son intelligence, s’est levée de façon quasi-officielle. Que cela vienne de la presseSystème ne peut nous étonner et alimenterait sans nul doute certains commentaires qui y verraient naturellement une manœuvre de plus ; il y a de cela, nécessairement ; à côté de cela, il y a le vrai, qui nous dit qu’objectivement, Trump est un homme qui n’a nul équilibre, nulle conception rationnelle de la politique, nul jugement assuré sur une culture fondamentale.

Ces observations n’ont rien de nouveau pour nous. Depuis un certain nombre de mois, nous explorons épisodiquement le phénomène-Trump, défini comme une sorte de sapienstéléréalité. Dans tous les cas, de plus en plus tout au long des présidentielles USA-2016, la question du caractère et des capacités de la personne-Trump nous est apparue comme secondaire au regard et au profit de la question du rôle presque inconscient, nullement conceptualisé dans tous les cas, de causeur de désordre au sein du Système qu’a joyeusement assuré le candidat-Trump, puis le président-Trump dans la foulée… La meilleure définition que nous avons retenue de lui était sa fonction d’objet perturbateur et explosif, plus précisément de “cocktail-Molotov humain, selon la définition de Michael Moore.

(Selon Moore en août 2016, Trump était un “cocktail-Molotov humain” que le peuple américain, – ceux qui voteraient pour lui, – voulait lancer sur le système de Washington D.C. [A noter que Moore est, pour autant, un adversaire acharné de Trump : il ne faisait là que décrire ce qu’il jugeait être un phénomène objectif.])

Cela étant fixé, voyons comment est rapportée succinctement cette vague de mise en cause de la personne et de l’intellect de Trump. Le texte ci-dessous est de Sputnik.News (notre traduction-adaptation), et cela n’est pas indifférent : il s’agit d’un réseau russe, qui donne effectivement, et de façon fort logique, un point de vue russe… Que les Russes donnent une telle importance à ces critiques, sans élever la moindre réserve (contrairement à nous, voir plus loin) à l’encontre de ceux qui critiquent, nous donne une indication du sentiment de Moscou. Eux aussi, les Russes, sont inquiets du comportement de la bestiole de la Maison-Blanche. (Le titre complet, en anglais, est : « Gloves Off: Now Even Mainstream Media Calls Trump ‘Idiot,’ ‘Hated,’ ‘Unhinged’ ».)

« On ne prend plus de gants : Trump est un “idiot”

» Donald Trump, le 45e président des États-Unis, a été maintes fois décrit comme le leader le plus polarisant et le plus détesté du pays dans les sondages nationaux. Désormais, les grandes institutions médiatiques n’hésitent plus à écrire ce que beaucoup de ses adversaires ont affirmé depuis le début de son mandat : le président est mentalement inapte à occuper son poste.

» Dans de récents articles publiés dans des publications aussi diverses que The New York Times, The Guardian et même le site spécialisé dans les affaires de défense, Defense One, le langage concernant la santé mentale du président américain est passé de la citation de l’opinion de tiers à une affirmation directe suggérant que le comportement de Trump est désormais “une situation d’urgence”.

» Le South China Morning Post, journal de Hong Kong et institution dans son domaine (il a été créé en 1903), reconnu pour sa prudence et sa retenue de langage, n’hésite pas à poser directement la question “Est-ce que Trump est un idiot ?” pour poursuivre aussitôt que “‘oui’ semble être une bonne réponse”, assorti de cette appréciation commentée “et il l’est monumentalement”.

» Le New York Times lui-même, pourtant critique constant du président, a réussi à franchir un degré de plus, cessant d’attaquer les seules capacités de Trump à gouverner pour affirmer qu’il semble sur le point de “s’effondrer intellectuellement”. Le journal cite une avalanche croissante de rapports émanant de sa propre administration, soulignant le comportement, des discours et des actes “de plus en plus désordonnés et chaotiques” du président américain.

» Le Guardian, qui est l’un des fervents pratiquants de la rhétorique anti-Trump, a orienté sa démarche éditoriale vers l’examen attentif de la dissolution structurelle et conceptuelle du parti républicain américain, ses “choix misérables” en matière de leadership, revenant continuellement sur le fait qu’“aucun président n’a jamais suscité de façon aussi continue une opinion aussi basse dans les sondages”.

» Même le site spécialisé dans les questions de défense Defense One perd son habituelle neutralité politique pour la direction politique complétant son soutien à la communauté de sécurité nationale. Dans un article récent, il observe que le moyen de communication préféré du président, ‘Twitter, Inc.’, représente une “menace permanente pour la sécurité nationale” par ses tweets qui sont le plus souvent incompréhensibles ou particulièrement agressifs sans aucune rationalisation.

» Les législateurs, les chefs militaires et les dirigeants des grands groupes économiques et financiers, à côté des pratiquants courants de l’internet et dans le même sens, considèrent les méthodes de communication de Trump selon la citation populaire du comédien John Oliver, comme celle d’“un conducteur ivre conduisant à toute vitesse et détermination son bus vers un crash catastrophique”.

» Si l’on considère par ailleurs la possibilité d’une destitution que tous ces avis semblent suggérer, les États-Unis auraient alors comme 46ème président l’actuel vice-président Mike Pense. Huffington Post décrit Pence comme “un homme peut-être plus dangereux” que Trump. »

Certes, “Trump est un idiot”, on est bien tenté de ne pas s’opposer à ce jugement catégorique. Mais qui dit cela ? Les gens de la presseSystème, de l’establishment, du DeepState, du Complexe Militaro-Industriel, du showbizz entre divers épisodes de harcèlement sexuel, de la globalisation et ainsi de suite. Au nom de quoi, ce jugement ? Parce que Trump « représente une “menace permanente pour la sécurité nationale” » ? Pour quelle raison ? – car les explications que nous donne Defense One ne nous suffisent pas. Si Trump a des tweets agressifs et incompréhensibles, le DeepState a, au moins d’une façon aveuglante depuis 2001, une politique agressive et incompréhensible (voir la politiqueSystème), – malgré toutes les tentatives rationnelles, surtout de la part de ceux qui décrivent un grand plan d’hégémonie, de lui donner un sens… D’ailleurs, qui est vraiment “idiot” ? Le Trump qui veut une politique de désengagement et une cessation des guerres extérieures (Trump 1.0, circa USA-2016) ou le Trump qui veut pulvériser la Corée du Nord et attaquer l’Iran (Trump 2.0, circa-2017) ? Les deux ont été également insultés, et selon les mêmes vitupérations.

D’ailleurs et d’accord, Trump est sans le moindre doute “un idiot”, un déversoir de propos absurdes et indécents, un déchet de l’esprit, mais nous entendons montrer une fois de plus qu’il est “un idiot utile”. Les autres, ceux qui lui rentrent dans le lard aujourd’hui, sont des idiots élégants et interchangeables, qui prononcent avec aisance et assurance les mêmes platitudes standards enfantées par le déterminisme-narrativiste meurtrier qui ignore l’effet des bombes dont il ordonne le largage, obéissants aux consignes du Mordor sans y rien comprendre, – c’est-à-dire au mieux et de toutes les façons, – des “idiots inutiles”.

Avec Trump, l’“idiot est nu”

Nous ne sommes pas loin de penser que la colère unanime qui s’exprime désormais à l’encontre de Trump, de la part des zombies-Système des élites du bloc-BAO globalisé, que cette colère est inconsciemment destinée à eux-mêmes. Ce jugement doit permettre d’expliciter ce paragraphe, écrit plus haut et fixant la véritable situation du Système selon trois thèmes.

(“Ceux qui manifestent cette perception n’ont pas tort dans leur jugement, mais ils sont en bonne partie la cause de cette situation. Ils sont eux-mêmes dans un état de capacité, de caractère et de faculté intellectuelles au moins aussi déplorable que celle de Trump, même si d’une autre façon où l’apparence semble plus acceptable. Enfin, affreuse cerise sur le gâteau, il n’y a nulle part à “D.C.-la-folle“ (ou ailleurs dans le bloc-BAO) la moindre alternative satisfaisante à cette situation où Trump est à la Maison-Blanche.”)

• “Ceux qui manifestent cette perception n’ont pas tort dans leur jugement, mais ils sont en bonne partie la cause de cette situation”. Qui est la cause de la victoire de Trump sinon l’incroyable déliquescence de tous ses adversaires, sans exception, dans toutes les sortes de corruption, et particulièrement la corruption psychologique ; à commencer par les républicains eux-mêmes, dont tous les candidats aux primaires furent balayés par Trump ; en poursuivant par l’incroyable marais puant des démocrates, où l’archi-corrompue Hillary fut désignée à l’issue d’une incroyable séquence de fraude à l’intérieur de son parti, aux dépens d’un Sanders qui n’eut jamais les tripes de la simple et pure révolte.

• “Ils sont eux-mêmes dans un état de capacité, de caractère et de faculté intellectuelles au moins aussi déplorable que celui de Trump, même si d’une autre façon où l’apparence semble plus acceptable.” Le brave Van Auken essaie de nous faire peur, – presque en nous faisant regretter que Trump soit si stupide ! – en nous annonçant le gouvernement des généraux. (« Le retrait de Trump de ses fonctions ne fera que créer les conditions d’un gouvernement encore plus fermement sous le contrôle de l’armée et des services secrets américains. ») Mais les généraux et les autres sont déjà là ! Ils contrôlent tout ! On nous assez dit que les Mattis-McMaster-Kelly faisaient tourner la boutique… Pour quel résultat ? Après tout, la politique catastrophique qu’on reproche à Trump, c’est celle des généraux ; avec eux, – déjà au pouvoir, Van Auken, – on ne sait même plus comment fonctionne le processus de tir nucléaire

(Car nous serions bien tentés, par conviction sinon intuition, de croire que tout ce qui a été dit ces derniers temps à cet égard reflète effectivement une telle complexification du contrôle des armes nucléaires que les forces stratégiques nucléaires US sont en passe de devenir une sorte de Gulliver ligoté par autant de lilliputiens qu’il y a de bureaucraties à Washington D.C. Les USA deviendraient la première puissance nucléaire de l’Histoire à ne plus savoir où se trouve la gâchette… Cette question ne soulève guère les passions, dans la réflexion américaniste-occidentaliste.)

• “[I]l n’y a nulle part à “D.C.-la-folle“ (ou ailleurs dans le bloc-BAO) la moindre alternative satisfaisante à cette situation où Trump est à la Maison-Blanche.” C’est l’évidence même, tant le reste, autour de Trump et tirant des rafales d’insultes à l’intention de Trump, présente une sorte de danse de la totale impuissance nourrissant une montée aux extrêmes encore plus vertigineuse. Les démocrates en sont à rêver à Michelle Obama candidate en 2020, quoique Mark Zuckerberg ait ses partisans, – c’est-à-dire, avec l’un ou l’autre, un candidat fait pour accentuer encore plus l’antagonisme meurtrier de la “guerre civile culturelle” aux USA. C’est la même chose pour les républicains : une fois Trump liquidé, ils se retrouveraient avec un “président Pence” « peut-être plus dangereux » que Trump, chrétien évangéliste fervent, ennemi juré des LGTBQ, etc., et ainsi soulevant encore plus que Trump la colère des progressistes-sociétaux chauffés à blanc.

… C’est-à-dire qu’une liquidation de Trump, que tout le monde juge de plus en plus nécessaire, représenterait aussi bien la reconnaissance d’une faillite totale qu’un saut dans l’inconnu dont la seule chose assurée serait qu’on y trouverait plus de désordre encore. Il ne faut tout de même pas avoir l’angélisme touchant d’envisager, comme les commentateurs-Système et autres semblent faire, qu’une destitution de Trump, toute justifiée qu’elle pourrait être avec de l’imagination, passerait comme une lettre à la poste, – on parle de la population et non des institutions elles-mêmes, qui seraient dans ce cas l’instigatrice de ce “coup d’État-bouffe”.

Bien au contraire nous semble-t-il, il s’agirait d’un signal de montée à l’extrême de l’extrême pour chaque bord. Les adversaires de Trump verraient dans sa destitution l’occasion d’une vraie “révolution” et on leur donnerait le “président Pence”, le plus contre-révolutionnaire des présidents qu’on puisse imaginer ; les partisans de Trump, qui ont été et sont régulièrement trahis, retrouveraient toute leur vigueur pour se rappeler qu’ils votèrent Trump uniquement pour en faire un “cocktail-Molotov vivant”, et ils songeraient alors à s’équiper de vrai cocktails-Molotov.

Le paradoxe de Trump, c’est qu’avec sa position, son désordre incroyable, son inconscience et son irresponsabilité, sa stature d’“idiot“ transformant la politique en tweets, il est devenu une sorte de paratonnerre attirant sur lui toutes les passions qu’il a éveillées, – haineuses pour réclamer sa chute, furieuses pour celles qui en avaient fait un “cocktail-Molotov vivant”. Enlevez le paratonnerre et l’orage frappera dans tous les coins et de toutes les façons.

Ainsi peut-on dire que Trump, comme GW Bush avant lui mais avec bien plus d’arguments, peut arborer la bannière “Mission Accomplished”. Il a installé le désordre comme une structure nouvelle, quasiment ontologique dans D.C. devenue folle. C’est effectivement un “idiot” parfait et accompli comme le clame le chœur de l’establishmentet du DeepState, au nom du Système qui n’en revient pas de détailler le monstre qu’il a enfanté. C’est surtout une interprétation nouvelle, très postmoderne-tardive, de l’“idiot est nu”.

Trump nous a révélés, preuves à l’appui comme il l’est, que le Système n’est plus capable d’engendrer que des dirigeants du calibre le plus bas possible, dont la seule capacité est d’imprimer dans les structures du Système le désordre qu’engendrent les actes de l’idiotie pure et qui sabote le Système. Qui ne reconnaîtrait dans cette situation la gracieuse formule “surpuissance-autodestruction” ? C’est dire que, si effectivement l’“idiot est nu”, il est doublement, triplement un “idiot utile” au sens où jamais Joseph Staline n’aurait imaginé appliquer cette formule.

Trump, c’est la “ruse du Diable” retournée contre le Diable ; c’est cette sottise mise à nu, celle du Diable justement, pour que nul n’en ignore plus rien à son propos, – car, comme le dit et le redit dans ces colonnes l’honorable René Guénon : « On dit même que le diable, quand il veut, est fort bon théologien ; il est vrai, pourtant, qu’il ne peut s’empêcher de laisser échapper toujours quelque sottise, qui est comme sa signature

DDE

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